Non, je ne travaille pas pour Salesforce.
Non, je n’ai pas d’action chez Salesforce (c’est peut-être une idée tiens ??!!).
Non je ne travaille pas pour un intégrateur Salesforce.
Mais pourquoi fais-tu un blog sur eux alors ?
Je n’ai pas l’ambition de Maître Yoda, rassurez-vous.
En 2015, quand mon boss de l’époque me dit “Bon, Christophe, il faut que tu mettes en place un CRM et ce sera Salesforce car c’est le numéro 1” (sacré Greg !), je ne savais même pas ce que signifiait l’acronyme CRM ! Après une phase d’intégration avec un spécialiste, il a bien fallu s’y atteler si nous ne voulions pas exploser notre budget alloué ! Le chef de projet de l’époque m’avait mis le pied à l’étrier (merci Guillaume !) et moi qui ne suis pas geek pour un sou, je me suis surpris à prendre goût à la plateforme.
C’est là, selon moi, que réside la force de Salesforce (sans mauvais jeu de mot) : pas besoin de connaître le code, toute personne qui a une certaine appétence pour le digital peut rapidement mettre en place des fonctionnalités très utiles pour son entreprise, l’outil étant très intuitif (quoique cette intuitivité est moins évidente à mon sens sur Lightning). Créer des objets personnalisés, de nouveaux champs, un workflow de validation, une application dédiée à un service… tout cela vous est accessible.
Voir le tuto : Comment créer son objet personnalisé sur Salesforce ?
Et petit à petit, grâce à la plateforme en ligne de formation gratuite Trailhead, la nombreuse communauté de trailblazers (oui nos amis de San Francisco adorent reprendre l’univers de la randonnée et de l’aventure…) et les différents tutos en ligne, vous pouvez très vite progresser. Car vous allez vite vous rendre compte que le terme CRM est limité, Salesforce vous donnant accès à tout un panel de fonctionnalités en dehors de celles purement commerciales, notamment grâce à l’AppExchange.
En revanche, mon constat d’il y a 4 ans n’a pas changé : une documentation officielle pas toujours très lisible, peu de tutos en français (tout le monde n’est pas forcément à l’aise avec l’anglais technique) et rarement tournés vers les débutants, des blogs en français tenus par des parties prenantes (intégrateur, free-lance, partner…). De plus, beaucoup d’entrepreneurs de PME/TPE que je côtoie ont souvent des questions globales sur Salesforce dont ils ne trouvent pas réponse. Je trouvais donc intéressant de partager mon retour d’expérience en tant que client, utilisateur et administrateur sans background technique, à l’instar de beaucoup administrateurs “désignés d’office” des petites entreprises…